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Exemples de greenwashing : reconnaître les fausses promesses écologiques des marques

Exemples de greenwashing : reconnaître les fausses promesses écologiques des marques

Exemples de greenwashing : reconnaître les fausses promesses écologiques des marques

Le greenwashing : quand le marketing repeint l’écologie en vert

Apposer une étiquette « éco-responsable » ou « durable » sur un produit ne signifie pas que celui-ci l’est réellement. Depuis quelques années, nombreuses sont les marques à surfer sur la vague verte pour redorer leur image. Ce phénomène, appelé greenwashing (ou écoblanchiment), rend la frontière entre engagement réel et discours marketing de plus en plus floue.

Mais comment reconnaître ces fausses promesses écologiques ? Quels sont les signaux d’alarme à surveiller ? À travers des exemples concrets et des décryptages, voici une immersion dans les coulisses du greenwashing.

Une pratique ancienne devenue omniprésente

Le terme « greenwashing » est apparu dans les années 1980, mais son essor est lié à la prise de conscience environnementale des consommateurs dans les années 2000. À mesure que les enjeux climatiques s’imposaient dans le débat public, les marques ont intégré (ou feint d’intégrer) ces préoccupations dans leur communication. Résultat : des campagnes écolos… en apparence seulement.

Le problème n’est pas tant la volonté d’être plus durable – au contraire – que la manipulation de l’information. Le greenwashing consiste à faire croire à une démarche environnementale là où il n’y a qu’un vernis marketing. Le but ? Séduire des consommateurs de plus en plus exigeants.

Les signes qui doivent éveiller les soupçons

Identifier le greenwashing n’est pas toujours évident. Toutefois, certains indices permettent de s’en prémunir :

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